Fêtes des mères puisqu’on célèbre ça aujourd’hui
Cette fête pétainiste devenue célébration commerciale n’a aucun sens. Penser seulement à toutes ces mères qui avortent, tuent leur enfant ou, comme Brigitte Bardo, cherchent à le faire (et même osent le dire publiquement), accouchent encore sous X, les abandonnent pour satisfaire leurs désirs de chatte ou leur masculinité ou simplement au désir de leurs satisfactions de consommatrice et de plaisirs, dire celles qui ne les ayant pas désirés se serviront d’eux en toute impunité voire même en trouvant le moyen de faire justifier leur barbarie contre leur mari et le père a risque de créer des traumatismes pour toute leur vie et couperont des lignages, en feront parfois toute sorte d’instruments au mépris de leur personnalité (combien de prêtres , moines et nonnes)….Dénoncer l’imposture bien plus fréquente qu’on ose se le dire de ce mot qui le plus souvent serait avantageusement remplacé par génitrice. Combien ? Il y a les monstres connus mais les autres…
Dire les mères comme une sorte d’iconographie symbolisée par Marie, dont on ignore tout, mais pilonnage catholique aidant dont on fait même une médiatrice et que l’on a pratiquement divinisée, c’est se mentir collectivement…pour quelques femmes admirables (autant pas plus pas moins que les hommes combien de marâtres, de criminelles etc.
Mais rassurons nous, notre mère est officiellement toujours La mère, unique, parfaite , celle qui a donné la vie etc…toutes ces niaiseries néo-catholiques, d’une Eglise où l’on ferme pudiquement les yeux sur les échecs programmés, sur les robes outrageusement décolletées mais blanches, ce blanc parfois proéminent par devant .
Dira-t-on les femmes enfin comme on dit les hommes ? Ni plus ni moins, ni meilleures ni pires, même animalité que ne transcende, aussi et le plus souvent aucune culture si ce n’est celle du moi et des peurs qui vont avec.
Mais bien sur il y a des exceptions exceptionnelles: ma mère par exemple: un modèle. Tout le monde l'aimait, alors ses enfants, alors... moi!
Evidemment,"le MOA" se transcende.On doit au bout d'une vie etre assez content de la distanciation acquise sinon quel intéret y-a-t'il à patauger dans la boue ?
Rédigé par : béatrice dodin | 12 juin 2007 à 05:58